Présentation

JePh

« L’indicible »

C’est à l’âge de 17 ans que Jean-Philippe Vauthier se procure sa première guitare. Avec elle il veut changer le monde.

il ressent un besoin irrépressible de s’exprimer. L’amour des mots et de la mélodie, le poussent à écrire et à chanter. Il veut dire l’indicible… ce qui est ancré au plus profond de lui.

Enfant « dans la lune », il nourrit une forte vie intérieure. Son extrême sensibilité au monde extérieur fait naître en lui un intense sentiment d’injustice.

En 2003 il crée le groupe «Tournée Générale » qui rencontre un franc succès (2000 concerts et 6 albums distribués nationalement en un peu plus de10 ans).

Petit à petit il se laisse envahir par le besoin d’écrire sur des thèmes plus personnels, dans un univers plus intimiste mais aussi plus universel.

En 2013 il fait le grand saut et s’installe à Paris.

En 2015, en écho aux mentors qui ont nourrit son écriture et notamment à cette fameuse chanson de Brel, il crée le personnage de JePh.

 

Paroles…

Le texte occupe une place centrale dans l’univers de JePh.

Ses spectacles se partagent entre chansons et poèmes déclamés.

A l’instar d’un Bernard Dimey, ses textes ont un rythme et une mélodie intrinsèques, ils peuvent être chantés, scandés ou simplement dit.

 

 

… Et musique !

La musique et les arrangements viennent fixer un décor, illustrer le propos et l’univers poétique de JePh.

S’il fallait définir une essence à la musique de JePh, c’est le rock et la foik dans ce qu’ils ont de plus authentique, sans connotations et clichés. Leonard Cohen et Graeme Allwright serait certainement ses mentors pour leur exigence musicale : Jeu en picking, déroulés d’arpèges, ballades folk, couleurs blues, chansons pop, envolées lyriques,… quelqu’en soit la forme, le son est ancré dans l’âme du chanteur, dans ce qu’il a de plus pur.

Jeph a absorbé la musique rock anglo-saxonne des années 60-70 et toute la chanson française d’essence poétique depuis Léo Ferré et nous restitue sans artifices sa musicalité propre, celle qui gronde et sommeille en lui.

Entre musique et cinéma, entre poésie et chanson, entre le corps et l’âme, entre ici et ailleurs, JePh nous emmène en voyage dans son for intérieur, bercés de ses fortes convictions et de ses rêves puissants. Une aventure chimérique ancrée dans une réalité sociale.

 

 

 

Album en préparation (2018) / spectacle en cours :

Qu’il évoque son enfance déchiquetée et rocailleuse (Quiberon), les difficultés d’une jeune femme tiraillée entre son idéal et les impératifs d’une société de plus en plus cruelle et inhumaine (La fille du soleil), son sentiment de solitude et de résignation face à un monde violent et sans espérance (J’me casse), qu’il exprime son profond rejet de la politique guerrière de l’Etat français (Mon déserteur) et du repli nationaliste et identitaire, voire communautaire de la société française (Bleu Blanc Rouge), JePh brûle de mille feux de détresse et nous fait entrevoir son idéal : un idéal de fraternité, d’amour, de paix, où l’homme saura se débarrasser des chaines qui l’entravent, dépasser ses pulsions morbides et accéder à l’amour du vivant (Bonheur Immoral). Car c’est bien une lueur d’espoir qui l’anime et qu’il nous fait entrevoir dans un cri de révolte permanent (C’est le début de quelque chose). L’ennemi de JePh s’appelle morosité : tout son être refuse de succomber à la résignation, à l’enlisement, à la dépression. Son ilot d’espoir, sa citadelle imprenable (Je suis), sa marche en avant, son combat, sa marche sur le monde, salutaire et salvatrice (je viens), s’expriment dans toutes ces chansons. Tout au long d’un spectacle dont le fil rouge est le combat d’un homme face au monde, s’exprimant à travers toute la palette des sentiments qu’un tel combat peut engendrer.

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